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Un certain chêne vert
24 janvier 2011

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C’est le nombre de degrés qui a séparé le départ de l’arrivée, l’hiver du printemps. Le froid et la brume nous engloutissait dans leurs écharpes de givre puis le soleil presque d’un coup a traversé la vitre, aveuglant nos yeux et nous faisant chausser nos lunettes sombres. Nous venions de passer le col de la Croix Haute.

J’ai volé quelques montagnes au passage, surgies des masses sombres, des rochers blanchis par le gel, écorchés par les nuées, des vallées aux champs labourés et déjà bien verts comme oubliées de l’hiver, des monts qui s’adoucissent, regardant vers la mer.

Demain, au réveil, je regarderai au loin cette mer et j’oublierai ce froid piquant que j’aime.

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Pour finir, une petite devinette. Comment s’appelle ce village de Provence que nous traversons à chacun de nos parcours et que je vous définirai ainsi ? :

Oasis de calme

Lieu de repos

Loin des fumées

Isolé du bruit

Espaces boisés

Région touristique

Excellent accueil

Sa foire aux chiens

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Commentaires
M
Et oui Sab, c'était Ollières dans la Provence verdoyante!
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S
Peut-être Ollières?
Répondre
Un certain chêne vert
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