19 décembre 2013
Jamais deux sans trois
Comme on dit toujours « jamais deux sans trois », nous sommes allés voir une troisième centenaire, une tante par alliance de 102 ans et demie (les demis sont aussi importante à cet âge qu’ils le sont chez les gamins). Mais avant, il nous fallait un bon bol d’air, une petite marche d’une bonne demi-heure dans la nature, au milieu des chasseurs et de leurs épagneuls qui arpentent les grands champs de céréales dont certains tout juste labourés, Rubia en laisse, de peur qu’on ne la prenne pour un renard.
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