Le col de Balme (en bas)
Nous sommes redescendus à pied, jusqu’au pied du téléphérique : économie substantielle tout de même mais 860 mètres de dénivelé en descente ça laisse des traces et pendant 48 heures il est difficile de descendre les escaliers, surtout le matin quand on est rouillé.
L’impression est vraiment différente entre un haut où la végétation est rase, destinée à la prairie et où les vaches et les moutons trouvent en saison une herbe riche sinon prolifère et le bas où les arbres ou plutôt arbustes envahissent doucement le décor.
Tout en bas on peut voir jusqu’où descendait le glacier du Tour. Il y a cinquante ans, les gens de la vallée avaient peur qu’il ne démolisse leur maison !
Encore un peu plus bas, c’est Argentière mais… Que de monde sur les routes ! Des bouchons à cause de travaux m’ont permis d’admirer la chaîne des Fiz.