Quelques allées pour courir encore et encore
A chaque jour suffit sa peine : deux heures à tuer en promenade et il n’y a guère que le parc de Sceaux qui, une fois de plus m’accueille sous le soleil mais mon Dieu, qu’il fait froid !
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J’ai fini par m’écarter de ces chemins où des dizaines et des dizaines de gens courent et ils m’épuisent rien qu’à les regarder.
Sous les arbres de ce verger, les perruches criaillent, on n’entend plus qu’elles dans ce parc où elles sont en trop grand nombre paraît-il. J’ai d’ailleurs appris qu’elles étaient arrivées là par accident : un container de ces charmantes bêtes s’était ouvert… Elles finiront par exterminer les espèces plus fragiles si on les laisse se reproduire. Mais laissons Bruno (l’ornithologue du parc) avec ses problèmes, à chacun les siens.
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