"Sur la terre comme au ciel"
Le matin, Tout en haut du château, à 198 mètres, j’ai admiré la presqu’île de Giens si nette. La pluie des derniers jours avait lavé l’atmosphère et les Pesquiers, encadrés du double tombolo brillaient au soleil, déjà bien levé.
Et puis, comme si ça ne suffisait pas je suis montée en altitude. Si haut que les collines semblent minuscules, que les rivières ne sont plus que de minces rubans et que les Alpes paraissent si proches dans un ciel d’Azur.
L’avion m’emmenait vers Paris, là où je savais que je trouverais la pluie. Il emmenait aussi des personnages bien plus illustres que moi, de ceux qui n’ont jamais les moyens de se fondre dans la masse. Richard Bohringer et le journaliste Antoine Sfeir.
Et puis, me revoilà, redescendue sur le plancher des vaches. J’ai laissé derrière moi Paris ensoleillé. Paris que j’ai parcouru la nuit, mais à Paris, il ne fait jamais nuit. Mais ça, c’est pour plus tard.
Dans un sens…
Notre cher Coudon
Port de Toulon
Presqu’île de St mandrier
Alpes du Sud
Et dans l’autre…
Patchwork agricole
Et encore les Alpes au soleil couchant, on ne s’en lasse pas !