Vivent les week-ends
Ça fait longtemps que je n’avais pas attendu ces deux jours avec autant d’impatience. Les week-ends étaient devenus pour moi des jours presque comme les autres. Je finissais par perdre la notion du défilement de la semaine, les jours devenaient interchangeables. Depuis que je travaille, il a fallu que je m’accroche à un emploi du temps et à des horaires stricts. Je retrouve des marques oubliées, des réflexes face à des situations presque semblables à ce que j’ai toujours connues dans mon travail. Et maintenant, lorsque je referme la porte du cabinet, le vendredi soir venu, j’ai le sourire de celui qui va pouvoir profiter pleinement du week-end. Si tant est que le temps puisse le permettre car, ici, bon sang, qu’est-ce qu’il pleut depuis quelques jours. Vent, et fraîcheur accompagne ces cataractes de flotte qui pénètre jusque sous ma porte, inondant l’entrée de ma maison et arrosant le linge malencontreusement étendu dans le jardin par une matinée de soleil fugace.
Pas de neige cette fin de semaine. Nous aurions du aller à Gréolières les Neiges mais E est un peu malade et nous resterons sans doute tranquilles !!! Mais qui sait ?
Je pourrai ainsi contempler les statistiques de mon blog qui explosent ces temps-ci. Non, non, ne souriez pas, deviendrais-je célèbre ?
Pour remercier ceux et celles qui ont découvert, par hasard, mon blog en tapant « Granges du Poizat", voilà une photo datant de février 1987 de l’ancienne école, avant qu’elle ne soit rénovée et encore habitée par son ancien maître.
Un petit commentaire ne nuirait pas!