Du 14 au 20 juillet 2008 (1ère partie)
Lundi
Hier, la soirée a été bien arrosée pour beaucoup mais pas pour nous. A part un fort mistral, il faisait très beau, ce qui nous a permis d’aller nous promener le long de la plage de l’Almanar pour voir les kiteboarders évoluer dans l’eau.
Puis rejoindre la foule pour assister au feu d’artifice. Il y avait tellement de monde que nombreux sont ceux qui sont restés coincés dans leur voiture sans pouvoir accéder au port. Les pauvres, ils n’ont rien vu.
Ce matin, belle promenade dans les Maurettes, histoire d’aller photographier cette belle fleur de figuier de Barbarie.
Mardi
Ma chienne a la manie de pourchasser les chats qu’elle croise. C’est un jeu. Si le chat ne bouge pas, elle l’ignore. C’est un réflexe de prédateurs assez banal. Ce chat dort dans un pot de fleurs et ne se réveille même pas à notre passage. Si je devais lui donner un nom, je l’appellerais Zen.
Ce soir, il y avait un défilé militaire en centre ville d’Hyères. Les petits en bavaient d’envie. Depuis le matin, ils jouaient aux militaires et le déclinaient dans toutes les langues, enfin... Au moins en français et en italien : « les militaires, i militari… »
A 20H30, nous sommes fins prêts derrière les barrières. L’attente est longue et les gens s’impatientent. Finalement quelques mouvements, des remises de médailles et enfin le défilé. Je comprends enfin pourquoi il n’y a que moyennement du monde : quelques artilleurs, quelques marins, trois hélicoptères, Quatre véhicules et…. Les pompiers, toutes sirènes hurlantes couvrant la fanfare qui interprète depuis dix minutes « Sambre et Meuse ». Les militaires, tout le monde s’en contrefiche, mais alors les pompiers :
« Alors Arthur, qu’est-ce que tu fous la dedans ?... ». On s’interpelle on rigole, on applaudit. Finalement, les enfants étaient ravis, c’est l’essentiel.
07 14 défilé militaire et pompiers hyères 024
Mercredi
Retour vers P. mais avant, un petit pissou pour la chienne et, ce faisant, j’admire l’ingéniosité des gens pour garer leur voiture dans des endroits impossibles comme celui-ci :
Cette fois, le pique-nique se fera un peu avant Laragne (hautes Alpes) dans un joli paysage de maïs très verts, d’arbres fruitiers recouverts de leur traîne de mariée et en vue d’un joli village perché, dont je ne connais pas le nom. Serait-ce « Le Poët » cher à Mme R ?