Le long de la plage
Quoi faire un après-midi de 1er janvier sinon se promener. Lourds d’un repas délicieux qui finit par la salade de fruits, on opte pour la plage. Au moins, c’est plat. Mais on n’avait pas pensé que tout le monde aurait la même idée, depuis le sportif qui joggue, la MP3 à l’oreille, en passant par les familles un peu BCBG qui étrennent les vélos neufs de leurs enfants ou ramassent des galets et enfin les chiens qui crottent par ci par là : il y a foule mais tant pis.
On s’éloigne et, enfin la plage s’ouvre à nous, un peu moins obstruée, semée de trésors inconnus comme cette plante (ou cet animal, je ne sais) qui ressemble à une boule en tapis de feutrine ou une éponge, comme on voudra, gorgée d’eau qui s’écoule quand je l’ouvre pour la disséquer.
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Si quelqu’un connaît ?...
C’est fatigant de marcher qui sur le sable, qui sur les galets, qui sur les épaisses posidonies et au bout d’une bonne heure, un peu avant le coucher du soleil, on rentre à la maison.