Du 21 au 27 juillet 2008 (1ère partie)

Lundi

         Je suis presque en vacances mais comme mon cabinet tourne au ralenti, j’ai déjà l’illusion d’y être, ce qui est très agréable.

         On peut donc faire des projets de balade. Aujourd’hui est consacré à mon cheval et je pars vers « Le Jorat », hameau de Brénod dans l’Ain. Il me reste 11 mois à parcourir la région et j’ai envie de tout voir, de mémoriser, de fixer les paysages par des photos. Je ne veux rien oublier. Dans 11 mois, je tournerai une page de ma vie, même si je sais que j’en ouvrirai une autre qui peut être très agréable, c’est difficile de clore un chapitre, celui-ci aura duré 25 ans, ce n’est pas rien dans une existence.

                                           

         Les photos suivantes devraient vous rappeler quelque chose, mais quoi ? Essayez de deviner… C’est toujours dans l’Ain au lieu dit « Le content » : Si vous avez trouvé, laissez-moi un message !!!

                                           

                                          

Mardi

         Journée faste aujourd’hui.

         Tout d’abord une petite randonnée de trois heures entre rivière Ain et Hériat, petit village, lui-même faisant partie d’un groupement de trois communes : Heyriat, hameau de Sonthonnax la Montagne et Napt (on prononce Na). En tout, 300 habitants

         Cette balade nous montre au moins trois aspects des lieux: la forêt aux sapins gigantesques et aux fontaines romaines introuvables. Même les arbres morts, aux branches tordues par les hasards de leur vie semblent supplier le ciel.

Le plateau d’Hériat, 360 mètres plus haut et son château qui daterait primitivement du 14^ème siècle et qui était propriété dès cette époque de la famille Bussi…

                             

                                                   

(Et non ! Nous ne sommes pas à Hyères les Palmiers comme la photo voudrait nous le faire croire…)

… et la vallée de l’Ain et ses cygnes.

                                       

                                       

Mais après le « tout d’abord », il y a un « et ensuite »… Deux coups de téléphones de personnes intéressées par notre maison et visiblement désireuses d’acheter… Affaire à suivre…

         En attendant, un petit resto « Au Bouddha riant » !!! Non ne riez pas… C’est son nom.